La série des rapports de l’OIM sur l’état de la migration dans le monde existe depuis 2000. Le Rapport État de la migration dans le monde 2020, le dixième de la série, a vocation à faire mieux comprendre le phénomène migratoire partout dans le monde. Il présente des données et des informations clés sur la migration et comporte des chapitres thématiques sur des questions migratoires actuelles.

La présente étude a été développée par le groupe de recherche de l'Association de la diaspora PONTES Ricerche e Interventi pour le compte de l'Organisation Internationale pour les Migrations (OIM) Tunisie dans le cadre du projet Mobi-TRE «la migration en tant que ressource : mobilisation de la diaspora tunisienne et stabilisation des communautés défavorisées en Tunisie » financé par l’Agence italienne pour la coopération au développement (AICS).

Ce rapport rassemble les meilleures pratiques mises en oeuvre par les diasporas face à la crise COVID-19 dans les régions africaine, américaine, asiatique et européenne.  iDiaspora a pu recueillir ces informations lors de trois Échanges Virtuels organisés par l'organisation et pendant lesquels les diasporas du monde entier ont pu partager leurs meilleures pratiques en réponse à la pandémie.

Contributions et Comptage fournissent des conseils aux gouvernements et aux autorités nationales qui cherchent à comprendre et à mesurer les contributions économiques apportées par les diasporas à leur pays d'origine - au-delà des contributions qu'ils apportent via les envois de fonds. Ces contributions économiques comprennent l'investissement, le commerce, le tourisme et la philanthropie.

Malgré ses potentitalités, l'Afrique connaît encore beaucoup d'obstacles à son développement endogène. En effet, une croissance démographique globalement importante combinée à une situation politique, économique ou sociale difficile ont poussé bon nombre de ses ressortissants à s'expatrier pour améliorer leur situation. Par ailleurs, dans de nombreux pays, l'expansion de l^épidémie du HIV/SIDA prive l'Afrique des ressources humaines indispensables à son développement socioéconomique.

Les phénomènes migratoires se trouvent au cœur du tissu social et économique d’Haïti. Les communautés diasporiques en Amérique du Nord et en France ont longtemps contribué, par des transferts formels et informels de capital social et financier, à compenser les déséquilibres qui entravent le développement national. Les diasporas haïtiennes résidant dans les Caraïbes ont été moins sollicitées dans cette dynamique.

Over the past years, migration research and policymaking have focused much attention on South-North flows and on certain aspects of the migration and development nexus, such as remittances and ‘brain drain’. Cultural remittances have received little attention in policymaking. Nevertheless, culture is an important channel in the relation between migrants and their home communities and can be perceived as a potential contribution of diasporas to their countries and communities of origin.

The Workshop on Migration and Development, held in Geneva on 2-3 February 2005, was organized in cooperation with the UK Department for International Development (DFID) and the Netherlands Ministry of Foreign Affairs. The main objectives of the workshop were to examine why migration should be considered a development issue, to look at the synergies between migration and development agendas, and to examine how migration could be mainstreamed into development policy agendas, focusing on MDGs, partnerships and engaging diasporas.

Aux deux extrémités du cycle migratoire, les gouvernements sont de plus en plus conscients de l’intérêt des contributions spontanées des diasporas à leur pays d’origine et s’efforcent de trouver des moyens de coopérer avec elles. Par delà leurs rapatriements de fonds (plus de 400 milliards de dollars E. U. en 2010), les membres des diasporas sont d’importants investisseurs directs dans des branches de production essentielles et émergentes, des mécènes connus de projets touristiques, ainsi que de généreux philanthropes.